- Depuis quand exerces tu au 190?
Novembre 2014, 3 ans maintenant. D’abord pour un remplacement, puis à temps partiel, enfin à temps plein depuis bientôt 2 ans.
- Quel était ton parcours professionnel avant le 190?
Oulah … Je ne suis plus tout jeune, j’en ai fait des choses. Je vais faire court.
Je suis Docteur en médecine, Docteur en Pharmacie et j’ai quelques Diplômes Universitaires complémentaires pour mieux m’occuper du VIH et des IST. Mais tout ça, ça ne rend pas forcément intelligent … Ce sont surtout les rencontres qui ont eu lieu tout au long de mon cursus, qui font ce que l’on devient : les patients, les équipes soignantes, le hasard, les belles amitiés …
Très tôt confronté au VIH, dès mes premiers stages d’étudiant en médecine au début des années 90, ça n’était pas drôle, mais c’était si riche … je crois que ça aura guidé toute ma vie professionnelle et personnelle.
Au départ, l’hôpital Rothschild chez Willy Rozenbaum et l’hôpital de l’institut Pasteur, un petit passage dans l’industrie pharmaceutique et la pharmacie d’officine et plus récemment, le centre de dépistage de l’hôpital Fernand Widal, le Kiosque, le Figuier, l’Institut Alfred Fournier. Je salue ces équipes qui suivent notre page.
Enfin, ces dernières années, j’ai rejoint le 190 ou j’exerce maintenant à temps plein et j’ai également une consultation dans le service des Maladies Infectieuses du Pr Pialoux à l’hôpital Tenon.
- Qu’est-ce qui t’a motivé à rejoindre le 190 ?
Comme je l’ai dit plus haut … les rencontres, le hasard, les belles amitiés …
Michel Ohayon m’a proposé un remplacement en 2014, et hop … je suis resté. J’ai adoré l’équipe, j’ai adoré ce qu’on y faisait, cette prise en charge globale que l’on ne trouvait pas, ou peu, ailleurs.
Surtout, ce qui me plait au 190, c’est qu’on y parle de sexe
